Le GR34, de Saint-Brieuc à Morlaix Cette année, nous poursuivons notre périple sur le GR34, entamé en 2017. Nous choisissons de parcourir les Côtes d'Armor, plutôt que le Morbihan. Nous gardons le même rythme (20 kilomètres en moyenne pour chacune des 17 étapes), et le même principe (pour des questions d'intendance, nous marchons toujours sur le GR dans le sens Saint-Brieux vers Morlaix, mais démarrons par l'étape qui se termine à Morlaix). Alors que la France souffre paraît-il de la canicule, la température est idéale pour marcher ; par contre, nous subissons parfois des pluies légères, et surtout le brouillard qui jusque midi, limite l'intérêt et la portée des photos. Le "sentier des douaniers", mérite généralement son nom, sauf dans les zones urbanisées ou les estuaires, où les chemins sont souvent déportés loin de la côte et surtout sans aucune vue par rapport au tracé IGN, pourtant récent, pour laisser la place à des résidences neuves aux volets fermés et à des murs hideux qui bouchent la vue. Vivement que l'érosion nous débarrasse de ces gangrènes immobilières ! Vous pouvez sélectionner une étape par le menu, ou en cliquant sur l'image ci-dessous correspondant à cette étape.
Le GR34, de Saint-Brieuc à Morlaix
Cette année, nous poursuivons notre périple sur le GR34, entamé en 2017. Nous choisissons de parcourir les Côtes d'Armor, plutôt que le Morbihan. Nous gardons le même rythme (20 kilomètres en moyenne pour chacune des 17 étapes), et le même principe (pour des questions d'intendance, nous marchons toujours sur le GR dans le sens Saint-Brieux vers Morlaix, mais démarrons par l'étape qui se termine à Morlaix). Alors que la France souffre paraît-il de la canicule, la température est idéale pour marcher ; par contre, nous subissons parfois des pluies légères, et surtout le brouillard qui jusque midi, limite l'intérêt et la portée des photos. Le "sentier des douaniers", mérite généralement son nom, sauf dans les zones urbanisées ou les estuaires, où les chemins sont souvent déportés loin de la côte et surtout sans aucune vue par rapport au tracé IGN, pourtant récent, pour laisser la place à des résidences neuves aux volets fermés et à des murs hideux qui bouchent la vue. Vivement que l'érosion nous débarrasse de ces gangrènes immobilières !