D'Ahmed Ela à Lalibela
D'Ahmed Ela à Lalibela

Deux longues étapes de route puis de piste nous emmènent d'Ahmed Ela à Lalibela. Le réseau routier s'est largement développé et nous croisons parfois l'itinéraire des dromadaires, qui permettait seul il y a 15 ans de rejoindre Bere Hale par une piste par endroit acrobatique.
Le goudron n'empêche pas la vigilance, car la route est souvent encombrée de caravanes de dromadaires et d'ânes, de zébus, et de personnes réunies pour une cérémonie. En remontant vers les hauts-plateaux, nous quittons le territoire Afar à 96% musulmane pour rejoindre le Tigré, à 95% orthodoxe. Les églises font leur apparition sur le bord des routes.

La ville de Mekele, capitale du Tigré, est un immense chantier de logements modernes pour lequel nous n'éprouvons pas un grand intérêt. Nous poursuivons notre chemin vers Lalibela, située dans la région Amhara à 2630m d'altitude.
Ces plateaux sont riches ; la saison des pluies correspond aux mois les plus chauds, de Mai à Septembre. Le paysage est parait-il totalement verdoyant. Les plantations et la récolte suivent alors, sur des terrasses construites partout, jusqu'au sommet des collines. L'agriculture représente 85% du PIB du pays.

D'Ahmed Ela à Lalibela

Carte du trajet d'Ahmed Ela à Lalibela

Deux longues étapes de route puis de piste nous emmènent d'Ahmed Ela à Lalibela. Le réseau routier s'est largement développé et nous croisons parfois l'itinéraire des dromadaires, qui permettait seul il y a 15 ans de rejoindre Bere Hale par une piste par endroit acrobatique.

La nouvelle route surplombe l'ancienne piste, encore utilisée par les dromadaires Pause café, à Bere Hale Les dromadaires se reposent à Bere Hale
Entre Ahmed Ela et Bere Hale Café à Bere Hale Bere Hale

Le goudron n'empêche pas la vigilance, car la route est souvent encombrée de caravanes de dromadaires et d'ânes, de zébus, et de personnes réunies pour une cérémonie. En remontant vers les hauts-plateaux, nous quittons le territoire Afar à 96% musulmane pour rejoindre le Tigré, à 95% orthodoxe. Les églises font leur apparition sur le bord des routes.

Caravane de retour de Mekele ; garons-nous...   Eglise orthodoxe   Patrick se joint à une cérémonie de mariage... qui de toute façon bloque notre progression
Caravanes de sel   Eglise orthodoxe   Mariage

La ville de Mekele, capitale du Tigré, est un immense chantier de logements modernes pour lequel nous n'éprouvons pas un grand intérêt. Nous poursuivons notre chemin vers Lalibela, située dans la région Amhara à 2630m d'altitude.

Mekele, depuis la terrasse de notre hôtel Echafaudages de bois d'eucalyptus Point de vue, depuis la route
Mekele Echafaudages d'eucalyptus Sur la route de Lalibela

Ces plateaux sont riches ; la saison des pluies correspond aux mois les plus chauds, de Mai à Septembre. Le paysage est parait-il totalement verdoyant. Les plantations et la récolte suivent alors, sur des terrasses construites partout, jusqu'au sommet des collines. L'agriculture représente 85% du PIB du pays.

Meules de paille de sorgho, à côté de maisons traditionnelles Zébus à grandes cornes... sur la route Meules de paille
Meules de paille de sorgho Zébus à grandes cornes Meules de paille
Point de vue depuis la route   Point de vue depuis la route   Point de vue depuis la route
Sur la route de Lalibela   Sur la route de Lalibela   Sur la route de Lalibela
Le lac Karoum Revenir en haut de la page Lalibela

(C) P. Leflon ; dernière mise à jour : 22/01/2025