Les Sporades et Athènes
Mardi 22 juillet 1997

Malgré la forte chaleur, nous nous dirigeons vers l'Est de l'île pour visiter deux monastères. La visite n'est autorisée qu'en pantalon pour les hommes, en jupe pour les femmes. Heureusement, les tenues sont fournies à l'entrée ! A l'intérieur de ces monastères où poussent les bougainvillers, on admire de magnifiques icônes. Nous pique-niquons avec un pompier, qui passe sa journée assis sur le sommet à faire le guet, un talky-walky à portée de main. De retour à l'hôtel, nous prenons le bus pour la plage de Stafilos, où nous profitons d'une baignade géniale qui nous permet d'admirer de nombreux poulpes et poissons. Nous revenons à pied à l'hôtel, la température étant redevenue agréable.

Mercredi 23 juillet 1997

Nous effectuons la grande balade de la quinzaine, malgré les réserves de Cléo. Nous entamons une longue montée, initialement ombragée sous les oliviers puis sous les pins. Après un détour d'une heure, nous atteignons le col d'où nous apercevons de nombreuses îles. Le temps est chaud, mais reste supportable grâce au vent. Nous redescendons vers la plage d'Elios par un chemin ombragé, où poussent de nombreux poiriers. A peine le temps de se baigner après le repas au restaurant, et nous revenons en bus hyperbondé jusque Skopelos. Nous passons la soirée dans une taverne, avec un groupe de musiciens traditionnels.

Jeudi 24 juillet 1997

Nous embarquons sur un bateau qui va nous mener pendant deux jours en mini croisière. Nous partons pour Alionissos et les petites îles à proximité ; une première étape nous permet la visite d'un monastère, dont l'unique habitant est désabusé, car des touristes italiens viennent de lui voler sa tortue. Après une baignade, une seconde étape nous amène dans une crique qui sert de refuge aux bateaux de pêche ; nouvelle longue baignade mais de nouveau uniquement pour nous six. Nous voyons quelques poulpes et une murène, mais aussi de très nombreux sacs en plastique qui tapissent les fonds sableux.

Vendredi 25 juillet 1997

Pour nous six en tout cas, le programme de la matinée est simple : baignade, petit déjeuner, petit déplacement en bateau, baignade, repas, baignade, nouvelle étape en bateau, puis visite de la ville d'Alionissos ; une énorme couleuvre (morte) au bord de la route, une voiture (française) avec les vitres entrouvertes : vous imaginez la blague que nous avons faite, au désespoir de Cléo. Le temps est nuageux ; la température est donc agréable. Lorsque la nuit tombe, nous revenons dans le port de Skopelos où nous dormirons dans le bateau.

Samedi 26 juillet 1997

Lever matinal afin de libérer le bateau pour sept heures. Après une visite de la ville (les bagages étant entassés sans surveillance sur le port et sans inquiétude de Cléo), nous prenons l'hydroglisseur pour Iagos Konstantinos ; de là, un car régulier nous emmène pour Athènes.

L'explosion d'un pneu sur l'autoroute nous permet d'admirer l'efficacité des services de dépannage. Nous arrivons dans une ville en état de siège, en raison des mesures de sécurité entourant les championnats du monde d'athlétisme. Une balade nocturne nous conduit au pied de l'Acropole, où nous dînons.

Dimanche 27 juillet 1997

Après un court quartier libre, nous partons en bus pour le Parthénon, que nous visitons. Après le repas, nous nous dirigeons vers l'aéroport. L'avion part avec une heure et demie de retard, mais nous réussissons à prendre l'avant dernier RER au départ de Roissy.

Les Sporades

Carte de la Grèce

Mardi 22 juillet 1997


Malgré la forte chaleur, nous nous dirigeons vers l'Est de l'île pour visiter deux monastères. La visite n'est autorisée qu'en pantalon pour les hommes, en jupe pour les femmes. Heureusement, les tenues sont fournies à l'entrée ! A l'intérieur de ces monastères où poussent les bougainvillers, on admire de magnifiques icônes. Nous pique-niquons avec un pompier, qui passe sa journée assis sur le sommet à faire le guet, un talky-walky à portée de main. De retour à l'hôtel, nous prenons le bus pour la plage de Stafilos, où nous profitons d'une baignade géniale qui nous permet d'admirer de nombreux poulpes et poissons. Nous revenons à pied à l'hôtel, la température étant redevenue agréable.

Vue vers Alonnisos
Alonnisos
Marie-Jo, Cléo, Pierre, Robert, Sophie, Olivier, Michèle, Martine, Robert et Elisabeth en tenue de rigueur Façade fleurie d'un monastère de l'île de Skopelos ; cette petite île renferme 360 chapelles... Vue sur la ville de Skopelos
Parés pour la visite Monastère de Skopelos Ville de Skopelos

Mercredi 23 juillet 1997


Nous effectuons la grande balade de la quinzaine, malgré les réserves de Cléo. Nous entamons une longue montée, initialement ombragée sous les oliviers puis sous les pins. Après un détour d'une heure, nous atteignons le col d'où nous apercevons de nombreuses îles. Le temps est chaud, mais reste supportable grâce au vent. Nous redescendons vers la plage d'Elios par un chemin ombragé, où poussent de nombreux poiriers. A peine le temps de se baigner après le repas au restaurant, et nous revenons en bus hyperbondé jusque Skopelos. Nous passons la soirée dans une taverne, avec un groupe de musiciens traditionnels.

Sortie de Skopelos, dans notre Plage d'Elios, sur la côte Ouest Eglise à Skopelos, by night
Sortie de Skopelos Plage d'Elios Skopelos, by night

Jeudi 24 juillet 1997


Nous embarquons sur un bateau qui va nous mener pendant deux jours en mini croisière. Nous partons pour Alionissos et les petites îles à proximité ; une première étape nous permet la visite d'un monastère, dont l'unique habitant est désabusé, car des touristes italiens viennent de lui voler sa tortue. Après une baignade, une seconde étape nous amène dans une crique qui sert de refuge aux bateaux de pêche ; nouvelle longue baignade mais de nouveau uniquement pour nous six. Nous voyons quelques poulpes et une murène, mais aussi de très nombreux sacs en plastique qui tapissent les fonds sableux.

Intérieur du monastère d'Alonnisos Vue sur le monastère d'Alonnisos Notre mini-croisière s'est déroulée sur ce bateau, dont le pont supérieur servait de plongeoir
Monastère d'Alonnisos Monastère d'Alonnisos Notre "yacht"

Vendredi 25 juillet 1997


Pour nous six en tout cas, le programme de la matinée est simple : baignade, petit déjeuner, petit déplacement en bateau, baignade, repas, baignade, nouvelle étape en bateau, puis visite de la ville d'Alionissos ; une énorme couleuvre (morte) au bord de la route, une voiture (française) avec les vitres entrouvertes : vous imaginez la blague que nous avons faite, au désespoir de Cléo. Le temps est nuageux ; la température est donc agréable. Lorsque la nuit tombe, nous revenons dans le port de Skopelos où nous dormirons dans le bateau.

Façade fleurie, dans le vieil Alonnisos Vue sur la nouvelle ville d'Alonnisos
Vieil Alonnisos Ville d'Alonnisos

Samedi 26 juillet 1997


Lever matinal afin de libérer le bateau pour sept heures. Après une visite de la ville (les bagages étant entassés sans surveillance sur le port et sans inquiétude de Cléo), nous prenons l'hydroglisseur pour Iagos Konstantinos ; de là, un car régulier nous emmène pour Athènes.

Port de Skopelos
Port de Skopelos

L'explosion d'un pneu sur l'autoroute nous permet d'admirer l'efficacité des services de dépannage. Nous arrivons dans une ville en état de siège, en raison des mesures de sécurité entourant les championnats du monde d'athlétisme. Une balade nocturne nous conduit au pied de l'Acropole, où nous dînons.

Dimanche 27 juillet 1997


Portique des Caryatides ; l'Erechtheion, conçu pour abriter les cultes les plus anciens, a été construit à partir de -420
Le portique des Caryatides
Vue sur l'Erechtheion ; l'ensemble de l'Acropole était alors en pleine restauration Vue sur l'odéon d'Hérode Atticus ; au loin, la ville moderne d'Athènes Le Parthénon, temple d'Athéna ; sa reconstruction se poursuit à partir de débris disséminés par l'explosion en 1687 du site transformé en poudrière par les Turcs
L'Erechtheion L'odéon d'Hérode Atticus Le Parthénon

Après un court quartier libre, nous partons en bus pour le Parthénon, que nous visitons. Après le repas, nous nous dirigeons vers l'aéroport. L'avion part avec une heure et demie de retard, mais nous réussissons à prendre l'avant dernier RER au départ de Roissy.

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(C) P. Leflon ; dernière mise à jour : 28/01/2025