Impressions
Impressions... au pays du soleil levant

Ce premier contact avec le Japon nous a apporté beaucoup de surprises ; en bon français, je commencerai par la cuisine. Dans tous les endroits où nous nous sommes arrêtés, à l'exception de quelques cafétérias... typiquement occidentales, c'était génial ! J'ai tout aimé, depuis les morceaux de viande ou de poisson crû, aux germes de soja fermentés, qui ressemblent à une larve entourée de son cocon dès qu'on le mélange et qu'on prend au petit déjeuner, accompagné de poisson volant fumé, d'omelette, de friture et du perpétuel bol de riz, toujours disponible dans une cocotte chauffée, accompagné d'algues séchées. Ou encore les Okonomyaki, crêpes aux choux spécialité d'Osaka, ou le Suki Aki, "fondue" spécialité d'Unsen. Un régal... Sans parler de tous ces plats succulents, mais que nous avons renoncé à identifier ! Les mets sont servis dans de multiples petits plats, lavés ensuite à la main...

A moins d'aller dans des hôtels hors de prix, que nous n'avons fréquentés que le dernier jour à Osaka, l'hébergement, qu'il s'agisse des minshukus, assimilables aux chambres d'hôtes ou des ryokans, au régime hôtelier, est assuré dans de grandes chambres nues, dont le sol est constitué de tatamis, avec une alcôve dans un des murs. Le couchage se fait sur des futons, que nous faisons nous mêmes dans les minshukus ou préparés dans les ryokans. Les oreillers sont remplis de noyaux de cerise ou de petits cylindres de plastique. Surprenant, mais finalement très efficace pour passer une bonne nuit !
Chaque hébergement est équipé de bains chauds collectifs, appelés Unsen s'ils sont alimentés par géothermie. Il faut se laver complètement sous la douche, avant d'accéder tout nu au bain rempli en début de soirée par de l'eau bouillante. Ce même principe régit les bains publics, équipés de Jakuzi et d'une multitude de baignoires aux effets spéciaux (depuis la décharge électrique à la multitude de petits jets puissants entourant le corps en passant par le parcours aquatique). Bien sûr, il y a des bains pour femmes et des bains pour hommes. Quand ce n'est pas le cas, la maison fournit un peignoir (yukata) qui permet de préserver la décence...

De nombreux magasins sont ouverts jour et nuit ; on trouve partout des distributeurs de sodas, de bière et de cigarettes. Par contre, difficile de faire du change, et impossible de payer avec une carte bancaire ou de retirer de l'argent avec un automate ! D'une manière générale, cette zone du Japon est très ouverte aux touristes... japonais. Pratiquement personne n'y parle l'anglais ou a fortiori le français. Les cartes n'existent qu'en japonais, de même que les panneaux indicateurs. Dans les stations services, on est accueilli par au moins trois employés, qui servent bien entendu l'essence, mais lavent plus ou moins complètement les vitres de la voiture.

Partout, le premier plan est constitué par des fils et poteaux électriques, que les habitants semblent ne pas même remarquer. Y compris dans les zones urbaines, des enclos très hauts et grillagés sont en fait des terrains d'entraînement au golf, sport très prisé par les Japonais.
La circulation (conduite à gauche) est assez problématique ; les bouchons sont très fréquents sur les autoroutes (à péage) desservant les grandes villes. Les autoroutes slalomant entre les immeubles d'Osaka, en trois couches superposées (au troisième, au septième et au onzième étage des buildings) semblent sortir les GPS équipant de nombreuses voitures du rang de gadget au rang d'accessoire indispensable !

Impressions... au pays du soleil levant

Ce premier contact avec le Japon nous a apporté beaucoup de surprises ; en bon français, je commencerai par la cuisine. Dans tous les endroits où nous nous sommes arrêtés, à l'exception de quelques cafétérias... typiquement occidentales, c'était génial ! J'ai tout aimé, depuis les morceaux de viande ou de poisson crû, aux germes de soja fermentés, qui ressemblent à une larve entourée de son cocon dès qu'on le mélange et qu'on prend au petit déjeuner, accompagné de poisson volant fumé, d'omelette, de friture et du perpétuel bol de riz, toujours disponible dans une cocotte chauffée, accompagné d'algues séchées. Ou encore les Okonomyaki, crêpes aux choux spécialité d'Osaka, ou le Suki Aki, "fondue" spécialité d'Unsen. Un régal... Sans parler de tous ces plats succulents, mais que nous avons renoncé à identifier ! Les mets sont servis dans de multiples petits plats, lavés ensuite à la main...

A chaque repas, les petits plats étaient dans les grands ! Nous déplions les futtons sur les tatamis, vierges de tout mobilier. Bain de bois et dans les bois, dans notre ryokan de Yakushima
Les petits plats dans les grands Futons et tatamis Bain sylvestre

A moins d'aller dans des hôtels hors de prix, que nous n'avons fréquentés que le dernier jour à Osaka, l'hébergement, qu'il s'agisse des minshukus, assimilables aux chambres d'hôtes ou des ryokans, au régime hôtelier, est assuré dans de grandes chambres nues, dont le sol est constitué de tatamis, avec une alcôve dans un des murs. Le couchage se fait sur des futons, que nous faisons nous mêmes dans les minshukus ou préparés dans les ryokans. Les oreillers sont remplis de noyaux de cerise ou de petits cylindres de plastique. Surprenant, mais finalement très efficace pour passer une bonne nuit !

Chaque hébergement est équipé de bains chauds collectifs, appelés Unsen s'ils sont alimentés par géothermie. Il faut se laver complètement sous la douche, avant d'accéder tout nu au bain rempli en début de soirée par de l'eau bouillante. Ce même principe régit les bains publics, équipés de Jakuzi et d'une multitude de baignoires aux effets spéciaux (depuis la décharge électrique à la multitude de petits jets puissants entourant le corps en passant par le parcours aquatique). Bien sûr, il y a des bains pour femmes et des bains pour hommes. Quand ce n'est pas le cas, la maison fournit un peignoir (yukata) qui permet de préserver la décence...

De nombreux magasins sont ouverts jour et nuit ; on trouve partout des distributeurs de sodas, de bière et de cigarettes. Par contre, difficile de faire du change, et impossible de payer avec une carte bancaire ou de retirer de l'argent avec un automate ! D'une manière générale, cette zone du Japon est très ouverte aux touristes... japonais. Pratiquement personne n'y parle l'anglais ou a fortiori le français. Les cartes n'existent qu'en japonais, de même que les panneaux indicateurs. Dans les stations services, on est accueilli par au moins trois employés, qui servent bien entendu l'essence, mais lavent plus ou moins complètement les vitres de la voiture.

Partout, le premier plan est constitué par des fils et poteaux électriques, que les habitants semblent ne pas même remarquer. Y compris dans les zones urbaines, des enclos très hauts et grillagés sont en fait des terrains d'entraînement au golf, sport très prisé par les Japonais.

Les fils électriques Partout, des distributeurs de sodas, de bière et de cigarettes.
Kyoto... under the lines Drink parking

La circulation (conduite à gauche) est assez problématique ; les bouchons sont très fréquents sur les autoroutes (à péage) desservant les grandes villes. Les autoroutes slalomant entre les immeubles d'Osaka, en trois couches superposées (au troisième, au septième et au onzième étage des buildings) semblent sortir les GPS équipant de nombreuses voitures du rang de gadget au rang d'accessoire indispensable !



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(C) P. Leflon ; dernière mise à jour : 01/02/2025