Ile de Faial
Dimanche 6 avril 2003

Le plus dur avec Terres d'Av, c'est qu'ils nous imposent d'arriver à l'aéroport des heures avant le départ de l'avion... 5h15 à Orly, ça fait quand même tôt ! M'enfin!!! L'avion part à l'heure, arrive à l'heure à Lisbonne d'où nous repartons pour Horta, où nous faillissons atterrir à 15h (locales) avec un quart d'heure d'avance. Mais le pilote se rend compte dès qu'il voit la piste... qu'elle n'est pas devant lui ! Il remonte plein gaz, et nous tournons pendant une heure au milieu des nuages dans un air un peu chahuté, avant qu'une éclaircie provisoire nous permette enfin de retrouver le plancher des vaches, avec un fort vent de travers. Même à Flight Simulator, je ne sais pas le faire.

Après avoir déposé nos affaires à la résidence San Francisco au centre-ville, à vingt minutes de là, nous reprenons aussitôt les taxis en direction du volcan Capelinho, à l'extrémité Ouest de l'île. Le petit dernier est né à l'hiver 1957, recouvrant de cendres et de laves le village de Capelinhos en ne laissant debout que le phare, qui se trouve maintenant à un kilomètre de la mer. Nous faisons une courte balade avec un vent violent qui nous projette du sable dans les yeux et sur les appareils photo. Le musée est en cours de réfection ; nous nous contenterons de quelques échantillons de photos et d'artisanat local dans une implantation provisoire.

Ensuite, retour à la pension en vue du repas... et d'une bonne nuit. Mais auparavant, nous allons admirer les peintures murales traditionnellement laissées par tous les navigateurs qui mouillent dans le port, les plus célèbres comme les anonymes. Sans oublier une bonne bière "chez Peter", arrêt bar obligé à Horta.

Lundi 7 avril 2003

Nous partons pour la caldeira qui, avec ses 1000m environ, domine l'île de Faial ; la descente de ses parois abruptes, avec 500 mètres de dénivelé, est interdite pour des raisons de sécurité. Nous arrivons dans les nuages, avec un vent violent. Nous entreprenons d'en faire le demi tour, ce qui laisse le temps à l'atmosphère de se dégager un peu. Ensuite, nous longeons et traversons parfois des haies d'hortensias (pas fleuris en ce moment) pour redescendre vers la mer. Les taxis nous rejoignent à Praia Do Norte, au Nord de l'île

De retour à Horta, nous partons avec Sophie admirer la vue depuis le petit cratère qui domine la ville, à côté du musée de la baleine... fermé le lundi.

Dimanche 6 avril 2003

Le plus dur avec Terres d'Av, c'est qu'ils nous imposent d'arriver à l'aéroport des heures avant le départ de l'avion... 5h15 à Orly, ça fait quand même tôt ! M'enfin!!! L'avion part à l'heure, arrive à l'heure à Lisbonne d'où nous repartons pour Horta, où nous faillissons atterrir à 15h (locales) avec un quart d'heure d'avance. Mais le pilote se rend compte dès qu'il voit la piste... qu'elle n'est pas devant lui ! Il remonte plein gaz, et nous tournons pendant une heure au milieu des nuages dans un air un peu chahuté, avant qu'une éclaircie provisoire nous permette enfin de retrouver le plancher des vaches, avec un fort vent de travers. Même à Flight Simulator, je ne sais pas le faire.

Après avoir déposé nos affaires à la résidence San Francisco au centre-ville, à vingt minutes de là, nous reprenons aussitôt les taxis en direction du volcan Capelinho, à l'extrémité Ouest de l'île. Le petit dernier est né à l'hiver 1957, recouvrant de cendres et de laves le village de Capelinhos en ne laissant debout que le phare, qui se trouve maintenant à un kilomètre de la mer. Nous faisons une courte balade avec un vent violent qui nous projette du sable dans les yeux et sur les appareils photo. Le musée est en cours de réfection ; nous nous contenterons de quelques échantillons de photos et d'artisanat local dans une implantation provisoire.

Ancien phare, vu depuis le dôme de cendres du volcan. Comme d'autres, ce volcan est né en 1957 Vue sur le rivage, depuis le dôme de cendres
Ancien phare de Capelinhos Volcan Capelinho Rivage au pied du Capelinho

Ensuite, retour à la pension en vue du repas... et d'une bonne nuit. Mais auparavant, nous allons admirer les peintures murales traditionnellement laissées par tous les navigateurs qui mouillent dans le port, les plus célèbres comme les anonymes. Sans oublier une bonne bière "chez Peter", arrêt bar obligé à Horta.

Musée d'art sacré, en face de notre hôtel.   Peintures murales, sur le port   Peintures murales, sur le port
Musée d'art sacré de Horta   Port de Horta   Port de Horta

Lundi 7 avril 2003


Nous partons pour la caldeira qui, avec ses 1000m environ, domine l'île de Faial ; la descente de ses parois abruptes, avec 500 mètres de dénivelé, est interdite pour des raisons de sécurité. Nous arrivons dans les nuages, avec un vent violent. Nous entreprenons d'en faire le demi tour, ce qui laisse le temps à l'atmosphère de se dégager un peu. Ensuite, nous longeons et traversons parfois des haies d'hortensias (pas fleuris en ce moment) pour redescendre vers la mer. Les taxis nous rejoignent à Praia Do Norte, au Nord de l'île

Vue sur l'intérieur de la caldeira : 500 mètres de dénivelé Eboulement sur le flanc de la caldeira Vue sur l'île de Pico, dont le sommet est dans les nuages
Caldeira de Faial Caldeira de Faial Ile de Pico, vue de Faial
Redescente au milieu des hortensias Vue vers Praia do Norte
Redescente dans les hortensias Praia do Norte

De retour à Horta, nous partons avec Sophie admirer la vue depuis le petit cratère qui domine la ville, à côté du musée de la baleine... fermé le lundi.

Horta, capitale de Faial (6000 habitants) Vue sur Horta Petite caldeira, à côté de la ville
Rues de Horta Ville de Horta Petite caldeira, à côté de Horta
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(C) P. Leflon ; dernière mise à jour : 30/01/2025