Au pied du Demirkasik
Vendredi 14 avril 2000

Le vent s'est totalement calmé, et il ne pleut pas. Nous rejoignons donc en bus le terminus de la veille, d'où nous grimpons vers un col à 2400m. Limitée par des nuages bas, la visibilité fait craindre un moment à Michèle d'avoir perdu Olivier.

Nous déjeunons à proximité de névés, où, au-delà des classiques batailles de boules de neige, Kenan nous initie à la descente sur capes de pluie : trois par cape, ou cinq pour deux capes bout à bout, et rien ne nous arrête ! Une version économique existe (sac en plastique sous les fesses), où une version encore plus proche de la nature (on s'allonge dans la neige, et on contrôle la descente avec les pieds).

Nous rejoignons en fin d'après-midi notre campement, au milieu d'une zone où pullulent les chiens de prairies (sortes de petites marmottes) et où percent quelques fleurs.

Samedi 15 avril 2000

Nouvelle montée, jusqu'à une fontaine qui domine un magnifique canyon que nous redescendons ensuite. Le temps est enfin totalement revenu au beau fixe, et nous permet de profiter de cette dernière balade, au milieu de falaises calcaires teintées par des oxydes de fer.

Ensuite, retour en bus juqu'à Nidge pour le déjeuner puis Ankara où nous abandonnerons Delphine et Danièle qui prennent le train pour une journée à Istamboul. Quant aux autres participants du groupe, nous reprendrons l'avion le lendemain matin, après une nuit d'hôtel courte et sonore.

Vendredi 14 avril 2000

Départ de Cukurbag ; priorité aux autochtones Montée vers le col Éclaircie après la pause
Départ de Cukurbag Montée vers le col Eclaircie après la pause

Le vent s'est totalement calmé, et il ne pleut pas. Nous rejoignons donc en bus le terminus de la veille, d'où nous grimpons vers un col à 2400m. Limitée par des nuages bas, la visibilité fait craindre un moment à Michèle d'avoir perdu Olivier.

Nouveau passage de nuages Passage de névés Le temps se remet ; nous redescendons vers le campement
Episode nuageux Passage de névés Descente vers le campement

Nous déjeunons à proximité de névés, où, au-delà des classiques batailles de boules de neige, Kenan nous initie à la descente sur capes de pluie : trois par cape, ou cinq pour deux capes bout à bout, et rien ne nous arrête ! Une version économique existe (sac en plastique sous les fesses), où une version encore plus proche de la nature (on s'allonge dans la neige, et on contrôle la descente avec les pieds).

Descente sur capes de pluie (non encore homologué aux J.O.) Descente sur capes de pluie (non encore homologué aux J.O.) Descente sans cape de pluie (version économique)
Descente sur capes de pluie Descente sur capes de pluie Descente sans cape de pluie

Nous rejoignons en fin d'après-midi notre campement, au milieu d'une zone où pullulent les chiens de prairies (sortes de petites marmottes) et où percent quelques fleurs.

Arrivée au campement
Arrivée au campement
Fleurs sur le chemin Fleurs sur le chemin Fleurs sur le chemin
Fleurs sur le chemin Fleurs sur le chemin Fleurs sur le chemin

Samedi 15 avril 2000


Nouvelle montée, jusqu'à une fontaine qui domine un magnifique canyon que nous redescendons ensuite. Le temps est enfin totalement revenu au beau fixe, et nous permet de profiter de cette dernière balade, au milieu de falaises calcaires teintées par des oxydes de fer.

Dernier regard sur la chaîne avant la redescente par le canyon Dernier regard sur la chaîne avant la redescente par le canyon Le fond du canyon, aux parois parfaitement verticales, est parfois enneigé La descente n'est pas toujours des plus faciles
Au dessus du canyon Au dessus du canyon Canyon Canyon

Ensuite, retour en bus juqu'à Nidge pour le déjeuner puis Ankara où nous abandonnerons Delphine et Danièle qui prennent le train pour une journée à Istamboul. Quant aux autres participants du groupe, nous reprendrons l'avion le lendemain matin, après une nuit d'hôtel courte et sonore.

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(C) P. Leflon ; dernière mise à jour : 07/02/2025