Après notre arrivée matinale à Addis Abeba, nous prenons un peu de hauteur... La température est agréable, et nous allons sur les pentes du mont Entoto (3200m) jeter un coup d'oeil sur la ville. Le mont est planté d'eucalyptus, introduits il y a un peu plus d'un siècle et aujourd'hui très largement répandus dans tout le pays ; malgré l'usage intensif de ce bois, ces plantations sont aujourd'hui controversées, notamment en raison de la quantité d'eau qu'elles pompent. Construite vers 2400m, la capitale du pays compte près de 4 millions d'habitants ; elle est aujourd'hui recouverte d'un voile de poussières et de pollution. De retour en ville, une visite du musée national d'Ethiopie s'impose, pour saluer notre ancêtre Lucy, et découvrir un aperçu de l'histoire et de la culture du pays.
Nous nous dirigeons ensuite vers le lodge de l'Awash. Nous démarrons dans les bouchons d'Addis Abeba, par un tronçon d'autoroute présentant quelques surprises : découverte inopinée de véhicules à contresens, en raison de travaux non signalés sur l'autre voie, puis à notre tour, passage obligé à contresens pour laisser une procession de fidèles célébrer une des nombreuses fêtes orthodoxes. Nous prenons la route et retrouvons un trafic intense de camions rejoignant Djibouti, qui massacrent une chaussée récente mais fragile. Nous rejoignons le lodge par une piste, après avoir pris au passage un garde armé, officiellement pour nous protéger des crocodiles et des lions. Je me souviens parfaitement du site où nous étions passés il y a six ans, mais pas du tout de l'agréable lodge où nous passons la nuit.
Au petit matin, nous descendons au bord de la rivière... et découvrons effectivement une dizaine de crocodiles se chauffant au soleil. Une balade dans la parc nous permet de découvrir le payasage, et, grâce aux yeux expérimentés du garde et de notre guide, une partie de la faune que le parc abrite : gazelles, oryx, koudous que nous n'arriverons pas à photographier... mais pas les hippopatames, dont la rencontre est remise à plus tard.
D'Addis Abeba à Awash
Après notre arrivée matinale à Addis Abeba, nous prenons un peu de hauteur... La température est agréable, et nous allons sur les pentes du mont Entoto (3200m) jeter un coup d'oeil sur la ville. Le mont est planté d'eucalyptus, introduits il y a un peu plus d'un siècle et aujourd'hui très largement répandus dans tout le pays ; malgré l'usage intensif de ce bois, ces plantations sont aujourd'hui controversées, notamment en raison de la quantité d'eau qu'elles pompent. Construite vers 2400m, la capitale du pays compte près de 4 millions d'habitants ; elle est aujourd'hui recouverte d'un voile de poussières et de pollution. De retour en ville, une visite du musée national d'Ethiopie s'impose, pour saluer notre ancêtre Lucy, et découvrir un aperçu de l'histoire et de la culture du pays.
Addis Abeba depuis l'Entoto
Lucy, et moi...
Dans le jardin du musée
Nous nous dirigeons ensuite vers le lodge de l'Awash. Nous démarrons dans les bouchons d'Addis Abeba, par un tronçon d'autoroute présentant quelques surprises : découverte inopinée de véhicules à contresens, en raison de travaux non signalés sur l'autre voie, puis à notre tour, passage obligé à contresens pour laisser une procession de fidèles célébrer une des nombreuses fêtes orthodoxes. Nous prenons la route et retrouvons un trafic intense de camions rejoignant Djibouti, qui massacrent une chaussée récente mais fragile. Nous rejoignons le lodge par une piste, après avoir pris au passage un garde armé, officiellement pour nous protéger des crocodiles et des lions. Je me souviens parfaitement du site où nous étions passés il y a six ans, mais pas du tout de l'agréable lodge où nous passons la nuit.
Le lodge d'Awash
La rivière Awash
Chutes de l'Awash
Chutes de l'Awash
Chutes de l'Awash
Chutes de l'Awash
Au petit matin, nous descendons au bord de la rivière... et découvrons effectivement une dizaine de crocodiles se chauffant au soleil.
Crocodiles
Crocodiles
Crocodile
Une balade dans la parc nous permet de découvrir le payasage, et, grâce aux yeux expérimentés du garde et de notre guide, une partie de la faune que le parc abrite : gazelles, oryx, koudous que nous n'arriverons pas à photographier... mais pas les hippopatames, dont la rencontre est remise à plus tard.