Le lac Natron
Mercredi 23 janvier 2002

Le volcan ne marquant pas de signe de réveil, nous attaquons immédiatement la descente. Encore plus dure que la montée ! J'ai même l'impression que mes jambes ne me portent plus. Nous voyons la consistance du terrain à la lumière du jour, c'est à dire que nous apprécions la carbonatite dans tous ses états (depuis la lave dure mais cassante, jusqu'à la boue en passant par la poussière).
Les 300 premiers mètres de dénivelé sont extrêmement raides, les 500 suivants raides, et les 800 derniers mètres correspondent à une pente plus raisonnable.

Trois heures plus tard, nous sommes arrivés ; le 4*4 réglementaire nous attend et nous amène au camp (battant au passage notre record précédent avec 15 passagers dont 6 sur le toit). Le temps orageux nous dissuade de suivre les gorges pour rejoindre les cascades. D'ailleurs, l'orage de la nuit précédente a entraîné une coupure d'eau dans le camp, profondément creusé par des ravines.

Jeudi 24 janvier 2002

Départ pour le lac Natron, tout proche ; le 4*4 nous dépose à une demi heure de marche de la rive du lac, occupée par une multitude de marabouts et de flamands roses. Curieusement, il n'y a pas de moustiques.
Après une courte balade, nous reprenons la piste pour un trajet de 7 heures qui nous ramènera à Arusha. Nous faisons une pause dans le village masaï d'Engaruka, où nous sommes autant l'objet de la curiosité des habitants que la réciproque ; certains achètent sur place les fameuses couvertures aux couleurs masaïs, rouge et noire. A Arusha, la pluie vient visiblement de cesser, et le sommet du Meru est enneigé.

Vendredi 25 janvier 2002

Farniente et estompage des courbatures au programme. Nous faisons un tour en ville le matin, et l'après-midi, entrecoupé par une averse. L'électricité est là par intermittence ; mais il y aura une panne totale d'Internet pendant la journée.
Vincent, Géraldine et Sebastiano nous quittent, par la navette de Nairobi. Même si cela oblige Sebastiano à passer une nuit dans la capitale kenyane, c'est plus économique que la solution qu'il avait envisagée (taxi individuel jusque là bas, négocié à 300$...).

Mercredi 23 janvier 2002

Le volcan ne marquant pas de signe de réveil, nous attaquons immédiatement la descente. Encore plus dure que la montée ! J'ai même l'impression que mes jambes ne me portent plus. Nous voyons la consistance du terrain à la lumière du jour, c'est à dire que nous apprécions la carbonatite dans tous ses états (depuis la lave dure mais cassante, jusqu'à la boue en passant par la poussière). Les 300 premiers mètres de dénivelé sont extrêmement raides, les 500 suivants raides, et les 800 derniers mètres correspondent à une pente plus raisonnable.

Offrande à la déesse Engaï... La redescente : dur pour les genoux ! Vue nocturne vers le volcan
Lâcher de poubelles Descente du volcan Lengaï by night

Trois heures plus tard, nous sommes arrivés ; le 4*4 réglementaire nous attend et nous amène au camp (battant au passage notre record précédent avec 15 passagers dont 6 sur le toit). Le temps orageux nous dissuade de suivre les gorges pour rejoindre les cascades. D'ailleurs, l'orage de la nuit précédente a entraîné une coupure d'eau dans le camp, profondément creusé par des ravines.

Jeudi 24 janvier 2002

Départ pour le lac Natron, tout proche ; le 4*4 nous dépose à une demi heure de marche de la rive du lac, occupée par une multitude de marabouts et de flamands roses. Curieusement, il n'y a pas de moustiques.

Le Lengaï se reflète dans les eaux du lac Natron
Lac Natron et Lengaï
Les berges du lac Cormorans au repos Des milliers de flamands roses sont regroupés ici
Berges du lac Natron Cormorans Flamands roses

Après une courte balade, nous reprenons la piste pour un trajet de 7 heures qui nous ramènera à Arusha. Nous faisons une pause dans le village masaï d'Engaruka, où nous sommes autant l'objet de la curiosité des habitants que la réciproque ; certains achètent sur place les fameuses couvertures aux couleurs masaïs, rouge et noire. A Arusha, la pluie vient visiblement de cesser, et le sommet du Meru est enneigé.

Vendredi 25 janvier 2002

Farniente et estompage des courbatures au programme. Nous faisons un tour en ville le matin, et l'après-midi, entrecoupé par une averse. L'électricité est là par intermittence ; mais il y aura une panne totale d'Internet pendant la journée.

Vincent, Géraldine et Sebastiano nous quittent, par la navette de Nairobi. Même si cela oblige Sebastiano à passer une nuit dans la capitale kenyane, c'est plus économique que la solution qu'il avait envisagée (taxi individuel jusque là bas, négocié à 300$...).

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(C) P. Leflon ; dernière mise à jour : 30/01/2025